Introduction :
Moi, Damlon guerrier du Gondor, je vais vous raconter mon histoire.
Chapitre 1:Osgiliath.
Avec ma section nous devions protéger Osgiliath des sbires de Sauron
.Mon capitaine Faramir, frère de Boromir était l'un des plus courageux officier du Gondor. Les éclaireurs rapportaient la même chose : l'ennemi arrivait .Voyant cela faramir s'écria :
"Hommes du Gondor soyez avec moi et gardons Osgiliath !!"
-"Ouuaaaiiss!!!" S'écrièrent les soldats.
Mon escouade commandé par Faramir prit position proche de L'Anduin , le fleuve qui traversait la ville en ruine .
Chapitre2 : la peur et le courage.
Voyant les bateaux ennemis qui se rapprochaient je sentais une fièvre qui montait en moi, une fièvre qui donne du courage mais aussi de la peur. Mon capitaine attendait le bon moment ...
Chapitre 3 : L'attaque.
Les bateaux arrivaient au bord de l'eau vomissaient d'orques crasseux. Nous nous éliancions a leur rencontre tandis que nos archers nous couvraient. Le corps à corp fut sanglant , nous tenions mais ils étaient trop nombreux. Je vis un homme se faire décapiter. Nous nous battions comme des lions Faramir mettait le vide autour de lui.Tandis que les rangers commandés par Madril descendaient des dizaines d'orques. L'ennemi était trop nombreux.
Chapitre 4 : la retraite.
Voyant nos compagnons baignant dans la sang et que toujours plus d'orque arrivaient , Faramir décida de battre en retraite. Madril fut bousculé et se trouva à la merci des orques qui l'achevèrent, ceci marquant la fin du ranger. Avec les quelques survivants nous rentrions à Minas Tirith l'air tout penaud.
Chapitre5:Denethor
Denetor , père de Faramir et Boromir s'écria:
"Vous êtes des laches, pourquoi avoir ainsi abandonné Osgiliath a l'ennemi?"
- Père nous nous faisions massacrés, contredit le fils de l'intendant.
- Reprenez Osgialith une bonne fois pour toute.
- Bien père mais ayez à l'avenir plus de respect pour moi.
Sur ces mots Faramir rassembla la cavalerie et alla reprendre Osgialith .Je ne faisais pas partie de la cavalerie , je les regardais partir à la mort .
Chapitre 6 : la charge
La cavalerie avançait doucement vers la ville en ruine ou les archers ennemis prirent position. Faramir éperonna son cheval et chargea en hurlant, tous les hommes le suivirent .Le soleil se levait et déja des hommes allaient mourir. Les achers décochèrent leurs flèches. Les fils du Gondor s'écroulèrent par dizaines. Les cavaliers chargèrent. Je vis Polmos, un ami, il s'écroula, il y avait une flèche dans la poitrine. Fou de rage je voulus me lancer à la charge pour venger mon ami mais heureusement pour moi, Beregond , garde du corps de Boromir me retint. Puis j'entendis dernière moi les cris des hommes, Faramir tomba sous les flèches .Gandalf monta sur Gripoil et alla chercher Faramir gravement bléssé fût le seul survivant.Les hommes pleuraient la bravoure et le courage des morts .
Tome 2 : Minas Tirith
Chapitre 1 : la guerre
Aprés la charge sucidaire de mon capitaine, l'espoir de battre l'enemi nous quittait , les nuits étaient longues, marquées par les cauchemars, qui allaient se réaliser . Seul le magicien blanc avait encore un peu d'espoir , il était rempli de sagesse et nous lui faisions confiance. Au loin dans la nuit des ténèbres nous voyons le Modror qui se vidait de ses guerriers crasseux et puants. Denethor pleurait son fils Faramir gravement blessé, le jeune capitaine était entre la vie et la mort. Je préparais mon armure, mon épée et mon bouclier car j'était de garde cette nuit, heuresement, un garde de la citadelle, un certain Biabon me tenit compagnie , lui aussi avait peur de la mort qui se rapprochait a chaque minute un peu plus de nous. La nuit fut froide, le lendemain à l'aube, devant nos portes, se tenait pas moins de 50 000 Orques , alors que nous étions que 10 000, dès 9 heures du matin, avec les quelques survivants de ma section, nous allions préparer les trébuchets pour accueillir les guerriers du mal , avec cette nuit longue et pénible, nos membres étaient fatigués et les pierres étaient lourdes .Un seul espoir nous guettait, le Rohan mais arrivera-t-il ?
Chapitre 2 :l'entraînement
Avant le combat , mes amis , moi et tout le reste de l'armée allèrent s'entraîner , dès que je commença le duel avec Biabon , je sentis une fatigue monter en moi, je luttais contre mais s'était trop dure. Je voyais flou, je tournis de l'oeil et puis le trou noir. Je me relevais à l'infirmerie, Biabon se tenait à mes côtés, il me disait qu'il y avait de plus en plus de guerriers du mal qui se tenaient devent les murs, ils étaient assoifés de sang et de chair fraiche . Au loin les orages se déchainèrent marquant le début d'un long et pénible siège . Pour récuperer des forces , on me mit de garde .Avec désaroi je vis qu'après le passage des orques , il n'y avait plus d'herbe , si le Gondor perdait cette bataille, la guerre serait finie marquant la fin des hommes et le début du règne du mal. D'après Beregond l'ancien garde du corps de Boromir, toutes les armées du bien seront présentes à la bataille . Je vis Pipin s'entraîner durement, j'avais entendu des rumeurs sur la portée de bras des Hobbits c'est là que j'ai compris le sens de cette rumeur. Pourtant , il avait le courage digne d'un garde de la cour. Soudain, j'entendis les cloches sonner , avec une peur qui nous titaniserait , nous nous élançions aux murs , désormais ce sont des centaines de guerriers qui dévalent les rues commandés par Gandalf. Je vis une lueur d'espoir dans mon coeur , avec Biabon nous avions peur mais nous voulions prouver notre bravoure .
Chapitre 3: déploiement
Je regardai une dernière fois derrière moi, je ne reverrais plus la plupart des habitants de cette cité . Mon compagnon me fit sortir de mes rêves et j'alla me mettre en formation. Les orques déclenchèrent les catapultes et ma demeure s'éffondra et des têtes volèrent , c'étaient des prissonniers cette fois notre colère était plus puissante que jamais. Gandalf riposta et ordonna de tirer avec les trébuchets, les orques se lancèrent a l'assaut et les trolls poussaient des tours de sièges immense . Moi et ma formation étions situé juste devant la porte principale. Malgré le tir des archers sur l'ordre du magicien blanc , une fois les trolls arrivaient à hauteur des murs , les tours de sièges vomissaient d'orques , le combat était lancé .